Je suis Hélène, une mère célibataire, tiraillée entre l’amour pour mon fils et la responsabilité envers mon beau-père vieillissant. Lorsque j’ai proposé de placer mon beau-père, Lucien, en maison de retraite, mon frère Julien a éclaté en sanglots, révélant des blessures familiales profondes. Cette décision déchire notre famille et me confronte à mes propres limites, mes peurs et mes regrets.
Je m’appelle Isabelle et depuis vingt-cinq ans, je vis à Lyon, loin de mon village natal près de Chalon-sur-Saône. Après une humiliation cuisante de la part de ma belle-fille Zoé, qui m’a suggéré de vendre mon appartement pour retourner au village « pour la famille », une vieille blessure s’est rouverte : ce sentiment de n’appartenir ni ici, ni là-bas. Lorsque mon frère Étienne est venu frapper à ma porte avec un panier de pommes, j’ai dû choisir : pardonner et essayer de comprendre, ou couper définitivement les ponts avec mon passé.
Je m’appelle Zoé et j’ai grandi dans un petit village du Limousin. Après la mort de mon père, ma mère s’est retrouvée seule à s’occuper de mon frère Paul, en fauteuil roulant, et de moi. Le jour où notre unique voiture est tombée en panne, j’ai dû trouver le courage de demander de l’aide à notre voisin, Monsieur Lefèvre, un homme riche et distant, ce qui a bouleversé nos vies à jamais.
Je m’appelle Eva, mère célibataire, et j’ai dû affronter la tempête émotionnelle de placer mon beau-père Lucien, isolé dans sa vieille ferme, face à la réalité du grand âge. Entre les larmes, les disputes et la culpabilité, j’ai cherché une solution digne pour lui sans trahir ses racines. Ce chemin semé d’embûches m’a transformée, révélant la force insoupçonnée de notre famille et de notre village.
Ce soir-là, tout a basculé. Ma fille, Élodie, m’a annoncé qu’elle quittait son mari pour vivre seule à Paris. Entre incompréhension, colère et tendresse, j’ai dû affronter mes propres peurs et remettre en question tout ce que je croyais savoir sur la famille.
