Je m’appelle Claire et je me retrouve déchirée entre deux maisons, deux familles, deux loyautés. Mon mari Paul et moi vivons dans la vieille maison de mes parents, mais sa mère, Madame Lefèvre, exige que nous investissions dans sa propre demeure. Entre les non-dits, les souvenirs douloureux et la pression familiale, je sens ma vie et mon couple vaciller.
Je m’appelle Claire et, depuis trois mois, ma belle-mère ne nous adresse plus la parole. Tout a commencé lorsque mon mari et moi avons choisi de partir en vacances avec nos économies, au lieu de financer la rénovation de sa maison. Ce choix a bouleversé l’équilibre familial, mais il a aussi ouvert la voie à une remise en question profonde et, contre toute attente, à une réconciliation inattendue.
Depuis mon enfance, j’ai vécu dans cette vieille maison délabrée que mes grands-parents ont bâtie de leurs mains. Aujourd’hui mariée, je rêve de la rénover, mais ma belle-mère s’y oppose farouchement, exigeant que mon mari consacre son énergie à sa propre maison. Entre conflits familiaux, souvenirs d’enfance et choix douloureux, je me retrouve déchirée entre passé et avenir.
Tout a commencé un matin pluvieux, quand mon mari, François, a décidé de casser le mur entre le salon et la cuisine. Ce chantier a révélé bien plus que de la poussière : il a mis à nu les fissures dans ma relation avec mon fils, Antoine. J’ai dû affronter la peur de perdre ma place dans le cœur de mon enfant et apprendre à accepter le changement, même quand il fait mal.
