Je m’appelle Claire et j’ai caché pendant des années la vérité sur les difficultés de mon fils, par peur de perdre mon mari et de briser notre famille. Chaque jour, je vivais dans l’angoisse, tiraillée entre la culpabilité et la peur, incapable de trouver le courage d’affronter la réalité. Aujourd’hui, je partage mon histoire, espérant que d’autres comprendront jusqu’où l’amour peut nous pousser à mentir à ceux qu’on aime.
Je m’appelle Julien, et ce soir-là, la voix tremblante de ma mère a bouleversé ma vie. Elle m’a demandé de veiller sur ma sœur Camille, atteinte d’un handicap, alors que la maladie l’emportait peu à peu. Entre promesses, sacrifices et colère, j’ai dû affronter une famille déchirée et une société peu clémente.
Je m’appelle Camille. Ma mère vit dans le luxe et me méprise parce que mon mari, Étienne, ne gagne pas assez. Entre ses remarques cruelles et la maladie de mon fils, je me bats chaque jour pour garder la tête hors de l’eau.
Ma mère, sur son lit de mort, m’a confié la garde de ma sœur Aria, différente et fragile. Entre la promesse faite et la réalité d’une vie bouleversée, j’ai dû affronter la solitude, l’incompréhension et les choix impossibles. Aujourd’hui, je me demande encore si j’ai été à la hauteur de son dernier souhait.
Je m’appelle Claire, et ma vie a basculé le jour où mon mari, Julien, m’a quittée après le diagnostic d’autisme de nos jumeaux. Seule face à l’incompréhension, la solitude et la lourdeur du quotidien, j’ai dû puiser une force insoupçonnée pour mes enfants. Mon histoire est celle d’une mère qui refuse d’abandonner, malgré les regards, les jugements et la fatigue.
