« J’ai dit à Madame Dubois que je n’en pouvais plus d’être sa petite main »
Tout a basculé le jour où j’ai osé dire à Madame Dubois, ma voisine âgée, que je n’étais plus capable d’être à son service à chaque instant. Épuisée, j’ai évoqué l’absence de sa fille, qui aurait dû être là pour elle. Ce choix m’a brisée et a bouleversé tout l’immeuble.