À 38 ans, être mère : comment ne pas gâter son fils unique ?
Je m’appelle Claire, j’ai eu mon fils à 38 ans après des années d’attente et de souffrance. Aujourd’hui, je lutte chaque jour pour ne pas céder à tous ses caprices, mais la culpabilité et la peur de le décevoir me rongent. Entre amour maternel, solitude et conflits familiaux, je me demande si je fais vraiment ce qu’il faut.