Je m’appelle Léa et j’ai grandi à Lyon, dans une famille où l’apparence comptait plus que tout. Depuis l’enfance, on m’a toujours dit que j’étais « trop garçon manqué » pour une fille, et même ma mère doutait parfois de qui j’étais. Cette histoire raconte comment une simple sortie scolaire et une photo de classe ont ravivé de vieilles blessures et bouleversé mon identité.
Je m’appelle Paul, j’ai seize ans, et ce soir-là, ma mère a hurlé que je faisais une erreur en voulant vivre chez mon père. Depuis toujours, je me sens tiraillé entre deux mondes : celui de ma mère, Laurence, et celui de mon père, Marc, que je connais à peine. Mon histoire est celle d’un adolescent qui cherche sa place, au risque de tout perdre.
Je m’appelle Isabelle. J’ai traversé la tempête du divorce de mes parents, perdue entre colère, silence et doutes, jusqu’à ce que la foi me tende la main. Voici le récit de mon combat pour ne pas sombrer, et de la lumière que j’ai fini par trouver au bout du tunnel.
Je m’appelle Claire, et tout a basculé le soir où mon fils aîné, Antoine, m’a annoncé qu’il allait devenir père à dix-huit ans. Dans notre petite ville de la Creuse, où tout le monde se connaît, cette nouvelle a fait l’effet d’une bombe. Entre la peur du regard des autres, les disputes familiales et l’incertitude de l’avenir, j’ai dû affronter mes propres préjugés pour soutenir mon fils.
Je m’appelle Camille, et depuis toujours, ma mère surveille chacun de mes gestes. Son obsession pour le contrôle m’a poussée à bout, jusqu’au jour où j’ai tenté de m’en libérer. Mais on ne s’arrache pas si facilement à l’étreinte d’une mère française, surtout quand elle connaît tout le quartier mieux que la police.
Cet été-là, j’ai cherché ma place dans une famille recomposée, entre la tendresse maladroite de mon père et la franchise brutale de ma nouvelle demi-sœur, Léa. Sur la plage de La Baule, entre les marées et les châteaux de sable éphémères, j’ai découvert la douleur d’être rejetée et la force qu’il faut pour accepter la vérité. C’est l’histoire d’un été où j’ai appris que perdre, parfois, c’est aussi grandir.
